Lucas Chevalier vient tout juste d’officialiser son transfert XXL au PSG que déjà, tous les regards sont braqués sur lui. L’éviction sans ménagement de Donnarumma installe clairement une pression dantesque sur ses épaules.
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À peine son transfert XXL au PSG officialisé, Lucas Chevalier se retrouve déjà au centre de toutes les attentions. Recruté pour 55 M€, bonus compris, l’ancien gardien du LOSC débarque dans la capitale pour succéder à Gianluigi Donnarumma, écarté sans ménagement par Luis Enrique. Une transition qui n’a rien d’anodin : l’Italien sort d’une saison exceptionnelle, couronnée par une victoire historique en Ligue des Champions où il a multiplié les arrêts décisifs. À 23 ans, Chevalier sait qu’il n’a pas le droit à l’erreur.
Remplacer un héros, mission impossible ?
Si le PSG a fait ce choix, c’est pour coller davantage à la philosophie de jeu de Luis Enrique, qui privilégie un gardien à l’aise balle au pied. Mais sur le plan émotionnel, Chevalier hérite d’une place lourde à porter. Donnarumma était apprécié dans le vestiaire, respecté par les supporters et redouté par les attaquants adverses. Cette arrivée, couplée à l’éviction du portier italien, crée une attente colossale autour du jeune Français, qui devra justifier dès les premières minutes le montant de son transfert.
Baptême du feu réussi !
Le premier test de Lucas Chevalier a été réussi avec une victoire en Supercoupe d’Europe contre Tottenham. Coupable d’une faute de main sur le deuxième but des Spurs, le Français a vite remis les compteurs à zéro en sortant des arrêts importants. Et la séance de pénaltys a permis d’asseoir sa force de caractère, en plus de ses qualités techniques. Face à Nantes, il doit pouvoir confirmer et profiter de ce début XXL pour assumer toute cette nouvelle pression sur ses épaules.
