La situation de Kang In Lee commence à inquiéter du côté de la Corée du Sud. Le PSG est « accusé » de retenir le joueur en réclamant un prix totalement prohibitif…
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Remplaçant contre Tottenham puis titularisé à Nantes, Lee Kang-in a de nouveau commencé sur le banc vendredi dernier face à Angers, avant d’entrer en jeu à la 81e minute à la place d’Ousmane Dembélé. Un choix qui confirme la hiérarchie établie par Luis Enrique : le technicien espagnol apprécie le profil de l’international sud-coréen, mais ne le considère pas comme un titulaire indiscutable. À 24 ans, Lee aspire à plus de temps de jeu et un départ n’est pas à exclure, même si le PSG complique les choses avec un prix de départ très élevé.
Le PSG réclame une fortune pour Lee Kang-in
Depuis le début de l’été, la presse évoque un possible départ de Lee Kang-in. Le joueur, qui souhaite franchir un cap dans sa carrière, figure sur les tablettes de plusieurs clubs, notamment Tottenham, toujours en quête d’un renfort offensif. Mais selon Le Parisien, le PSG a fixé un prix compris entre 40 et 50 M€. Une somme jugée prohibitive pour un joueur de rotation et qui refroidit les courtisans. De l’Angleterre à la Corée du Sud, cette évaluation interroge. Pour certains observateurs, Paris envoie ainsi un message clair : Lee n’est pas à vendre, sauf offre XXL.
La presse coréenne s’indigne
En Corée du Sud, le dossier prend une autre tournure. À un an de la Coupe du monde 2026, les médias locaux s’inquiètent du manque de temps de jeu de leur star. Le quotidien Chosun est allé jusqu’à titrer : « Lee Kang-in est-il l’esclave du PSG ? », dénonçant un prix excessif pour un joueur qui n’est pas titulaire. Le journaliste Nam Jang-hyun (Sports Dong-A) a également confié à Foot Mercato que cette situation suscite une forte inquiétude dans le pays. À quelques jours de la fin du mercato, l’avenir de Lee Kang-in reste donc en suspens, entre ambitions sportives, enjeux marketing et incertitudes contractuelles.
